Etonnant cet entretien radiophonique de Raymond Barre sur France-Cucul, dans le cadre des « Rendez-vous des politiques », diffusé le 1er mars dernier, et disponible en « podcast » (excusez l’horrible néologisme, mais que dire ? au secours l’Académie françouaize ! )
Grand bruit donc autour des déclarations brutales, claires, tranchantes de Raymond-la-science, qui n’est pas suspect de manier la langue de bois : v’la-t-y pas qu’il défend Papon, qui pour lui était un fonctionnaire très courageux, et qui a servi de bouc émissaire. Dans la foulée, Bruno Gollnisch (le bras droit de le Pen, mais Le Pen a-t-il un bras à gauche ?) est « un homme bien » ; enfin, le « lobby juif » (de gauche) en prend pour son grade : « Je considère que le lobby juif – pas seulement en ce qui me concerne – est capable de monter des opérations qui sont indignes et je tiens à le dire publiquement. »
M. Barre, avec tout le respect qu’on doit à un homme bien, vous nous en dites trop, ou pas assez : quel genre d’opérations indignes ? si vous pouviez éclairer notre lanterne…
Ceci dit (pour le jeu de mots qui va avec, voir mes précédents billets), bien entendu le CRIF, toujours à l’affut des offenses aux juifs, pousse les hauts cris ; le CRIF est « scandalisé ». Ledit CRIF, d’ailleurs, avait déjà pointé le bout de son nez à propos de la « recrudescence des agressions antisémites » en 2006 ; or il appert que les agressions ad hominem, en général, ont progressé de la même façon : juif ou goy, nous sommes logés à la même enseigne.
Ainsi, le CRIF a certes des raisons de s’alarmer ; bien évidemment les agressions antisémites en tant que telles sont dégueulasses, mais les agressions contre les goys itou !! Et, soyons clairs : pourquoi serait-il plus détestable de dire « sale juif » que « enc… d’sa race » (quelque soit ladite race) ou « sale bougnoule » ?
mais le crif y s’en bat l’oeil des sales bougnoules de meme que le conseil des institutions musulmanes applaudit à sale juif
vive le communautarisme et ça c’est grave
et puis aussi marre du politiquement correct si on ne peut plus s’injurier ..
A cul les Velrans vive la guerre des boutons
il m’est arrivé de traiter de sale polack un jour de colère contre un polonais que par ailleurs j’aime bien . après qu’il ait organisé un concours chez moi à qui boirait le plus de vodka avant de tombe rIlne m’en n’a pas voulu
l’essentiel est que celui d’en face sache bien que c’est juste une manière de dire mais qu’on n’en pense pas un mott