Comme le chante Marie-José Vilar (vous ne connaissez pas ? vous avez tort) dans « Coutances », sur un air de tango:
Mais y’a entre nous une trop grande différence
Chaque fois que je recule c’est toi qui avances
On connaît mieux cette version, plus hard :
Dès que j’avance tu recules
Comment veux-tu comment veux tu etc…
Dès que je sors mes lois Fillon tu les remets à plat
Dès que je mets les handicapés à l’école tu supprimes ce truc
Dès que je décrète 35 heures tu te dépêches de les torpiller
Dès que je veux de l’égalité des retraites tu te cramponnes aux régimes spéciaux
Dès que j’installe un bouclier fiscal tu balances ta nouvelle CSG
Dès que je rote à gauche
tu pètes à droite, et vice-versa.
On n’en sortira pas : coulons donc ensemble, sur le même rafiot pourri, mais chacun de son côté, non mais !!