Habemus papam, comme ils disent, et comment ! Au cours de son passage à Rome ces vendredi et samedi derniers, le célèbre GW Bush a jugé utile d’aller serrer la cuiller à Benoît, au Vatican. Pour lui dire quoi ? des fadaises, comme d’hab’, et qui ne mangent pas de pain azime.
Mais au lieu de lui tartiner du « votre Sainteté » bien huilé comme le veut le proctocole (*), il lui a donné du « Yes Sir », pas plus révérencieux qu’envers son prof’ de gym’. Et décontracté, avec ça… l’histoire ne dit pas si le papam lui a demandé de cracher son chewing-gum dans le bénitier d’à côté, c’était de toutes façons off the records.
Allez, GW Bush remonte dans mes sondages de popularité – voilà un type qui prend les gens pour ce qu’ils sont : malgré sa belle robe blanche, Benoît est comme tout un chacun, il rote quand il a bu du spumante, etc. Sa Sainteté, comme tout mortel, n’est pas assise plus haut que son cul.
Mais si GW avait gaffé, une fois de plus ? ça serait assez dans ses cordes… ah non, je préfère pensr qu’il l’a fait exprès. Sacré Georges, farceur, va.
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(*) je sais, c’est mauvais, mais hein, on ne se refait pas.