Intéressante question abordée hier soir au JT de la 2 (ou de la 3 ? ou de la ?? bref on s’en fout) : la violence ad hominem (et aussi ad mulierem, of course) et son décollage, si l’on peut dire, dans les années passées. Un ex-flic bien au courant du sujet nous le dit tout cru, et assez précisément : c’est vers 1992 que cette violence « gratuite », exacerbée, injustifiée s’est développée, et ceci chez les jeunes, de plus en plus jeunes.
Ne cherchez pas : c’est aveuglant de clarté. Vous devinez ?
Tiens, une brève sur Le Monde qui n’a rien à voir, bien entendu. Micromou se bat pour rendre sa « XBox » utilisable sans panne. Une console de jeu. On doit pouvoir y jouer (quand ça marche, wouaf wouaf) à des trucs comme la guerre, la violence, le crime, plein de choses virtuelles et saignantes.
Il se trouve que ce genre de jeux ultra-violents (chéris des jeunes, qui s’y enferment) se sont développés à peu près il y a 15 ans. Vous voyez le topo ? je vous fais un dessin ?
et la bande à Bonnot au début dusiècle, c’était pas de la violence gratuite ?
les crimes de sang ont fortement diminués les incivilités ont augmenté et surtout les gens n’hésitent pas à porter plainte
Eh oh la bande à Bonnot c’était des 30-40 balais, pas des 15-16 ans. Ma démo tient toujours, et c’est pas les anars de Ravachol qui changeront la donne.