Dimanche matin, une dépêche du Figarôt (burp) tombe sur son site Web, dans un grand « plouf » ; il semble que Mère Teresa (on doit la canoniser, c’est quasi in the pocket, le Paradis dans un fauteuil) doutait de l’existence de Dieu. On peut d’ailleurs rejoindre sa dubitativité (dubitativitude, dirait Ségo la Melloise) car une autre dépêche, aussi ahurissante, aussi forte, aussi incroyable, annonce au lecteur du Web figaresque que « Guy Roux jette l’éponge en tant qu’entraîneur du RC Lens » (pour les profanes, il s’agit de football). Ladite dépêche footbalistique figure d’ailleurs en incruste en haut de la dépêche relative à Mère Teresa, vous pouvez vérifier.
Moi aussi je doute, Mère Teresa ; vous n’étiez pas seule à douter. Que Guy Roux n’ait pu épargner la défaite au RC Lens est un indice supplémentaire de cette carence divine ; on avait déjà des doutes, d’ailleurs, depuis que Gregory de la Star’Ac numéro 4 nous avait quittés, lui sur qui les bonnes fées de TF1 et de la chansonnette en tube avaient misé pour dissuader les ménagères de moins de 50 ans de zapper entre les espaces de pub’ à la téloche.
Eh bien, décidément, je le dis tout cru, si l’on persiste à canoniser Mère Teresa connaissant son état d’esprit dubitatif, c’est à douter du pape et de Dieu. Tant qu’à canoniser, qu’on canonise plutôt Gregory (tenez, voyez plutôt ce site hagiographique, c’est édifiant), d’ailleurs le public de la Star’Ac n’a aucun doute, lui, et les appels au standard téléphonique de TF1 (0,34 ct d’Euro la minute) le prouvent.