Il appert (voir le Monde) que l’histoire du sénateur américain pris dans une affaire de fesse « gay » – voir mon billet du 30 août « Sénateurs donc asexués » a une dimension que je ne soupçonnais pas : ce sénateur était un des plus actifs anti-homos de la bande, à l’initiative de lois z’homophobes…
Il a donc démissionné, et c’est bien fait, et je rectifie là mon propos : ces salopards qui font du prêchi-prêcha d’un côté, mais font pour eux-mêmes tout l’inverse de ce qu’ils professent ne méritent que le mépris. Un homme poltique doit au minimum montrer un peu de cohérence.
Exemple courant chez nous, dans un registre moins grave mais assez faux-cul aussi : ceux qui font mettre des radars partout, « pas de passe-droits », répression des « assassins de la route »… et qui disent à leur chauffeur de foncer : c’et du kif. Que du mépris.