Certains tentent de me couper l’herbe sous le pied, et donc je ne vais pas me laisser tondre la laine sur le dos, enlever le pain de la bouche : c’est mon blog et c’est MOI qui cause de la journée annuelle de la Femme. Non mais… et donc, aujourd’hui, pas de « celles-zé-ceux », non, mais des « celles », point-barre (au fait, même le présentateur habituel du 20-heures chez BFM s’y est mis, au « celles-zé-ceux », ça devient lourd de chez lourd).
Alors, donc, les femmes… le 8 mars, OK. Mais demain, fini, on passe à autre chose, et vivement. Et à l’année prochaine, mesdames. Voilà qui est fait.
Non, après les femmes, je voulais vous signaler, au cas où vous ne l’auriez pas vu, l’intervention de monsieur Chevènement… c’est dans l’Express, et là on vous dit au bout de 8 mots qu’il faut payer pour avoir la suite ; mais le Figaro, sympa, vous donne gratis un extrait suffisant de l’article de l’Express : merci le Figaro ! Donc le « Ché », outre son boulot avec les structures de l’Islam en France, regarde ce qui se passe avec les prochaines élections, et en particulier concernant ce qu’on nomme en français le PenelopeGate.
Premio, le secret de l’instruction y est allègrement violé : voir la publication, dimanche dernier dans le Journal du dimanche, des procès verbaux des auditions des différents protagonistes. Deuxièmo : le tempo, je cite : « L’ancien ministre est inquiet pour l’avenir de la démocratie alors que la justice refuse de s’imposer une trêve électorale« . En effet, monsieur Fillon est convoqué chez les juges, pour être ou ne pas être mis en examen, le 15 mars : deux jours avant la clôture des dépôts des candidatures… hasard du calendrier, bien entendu.
Et notre Chevènement de poursuivre : « La date de cette convocation est de nature à fausser le fonctionnement normal des institutions et je m’alarme des conséquences que cela pourrait avoir« . Et d’évoquer un glissement vers ce qu’on appelle le gouvernement des juges. C’est simple, il pense comme moi, monsieur Chevènement. Que la Justice soit indépendante des courants politiques, c’est indispensable ; on voudrait bien en être sûrs. Accessoirement, elle est supposée servir la République, et nous craignons, le « Ché » et moi, qu’elle ne lui rende pas service dans cette affaire.
Tibert
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Note du modérateur : J’ai laissé passer ce truc sur la voyance en ligne… c’est juste pour le fun, comme on dit à Québec. Comme quoi il y a encore, de temps en temps, et heureusement, des occasions de se marrer.
Au fait : « chat » c’est, en français, miaou, le greffier, le minou, le minet, le matou… rien d’autre. Pour causer, c’est le « tchat », la tchatche, à Marseille.
« … c’est juste pour le fun, comme on dit à Québec… »
Ouais-ouais-ouais, on dit ça, on dit ça… Et après, on se retrouve à jurer mordicus qu’on n’a pas de compte en Suisse devant plein de gens qui se marrent intérieurement ! (pas trop tout de même : eux aussi en ont…) comme ce malheureux Cahuzac, qu’aurait fait un si jeune et si beau président de la République ! (Quoi qu’il paraît que c’est le spécialiste pour se faire des cheveux. Alors ? alors on peut plus croire en rien, c’est surtout ça qui m’gêne. Pour ce qui est des cheveux, ça fait un moment que j’en ai fait mon deuil.)
Au fait, je sais bien qu’on différencie Québec-ville de Québec-état, mais j’ai toujours dit « AU Québec » : je trouve que ça sonne mieux à l’oreille.
Enfin, pour en revenir à notre sujet, c’est p’têt pas le moment de couper les cheveux-z-en-quatre : on rigole déjà assez comme ça avec le 242ème épisode de la saga de « Elyyyyyysée, ton univers impitoyâââ-âââ-bleeeuuuuhhh » version 2017…
Et vl’à qu’maint’nant, l’agité du bocal revient à la surface ! Je me demande qui est le scénariste, mais je ne le félicite pas : RIEN ne nous sera donc épargné !!!
A Québec, ça c’est sûr, je persiste ; et peut-être aussi AU Québec, quoiqu’à Montréal ce soit de plus en plus bilingue.
Quant à l’agité du bocal, c’est une expression déposée par L-F Céline, faites gaffe, sa veuve (105 ans) y veille. Et puis comparer Normal-moi à Jean-Sol Partre… faudra virer le scénariste.
Sermon du second dimanche de Carême du père Timothy :
… Quand j’évoque « l’agité du bocal » (marque déposée, donc…), ce n’est pas à Mimolette 1er que je fais alluvion (hum…) mais bien à son prédécesseur ; lequel a entamé une « traversée du désert » en rien comparable à celle de Mon Général (11 ans) puisqu’à peine deux mois après qu’il eût été – bien involontairement ! – congédié des « affaires », il y a déjà des pèlerins confits en béatitude pour aller le prier dans sa thébaïde **** : « Jésus, revient, Jésus revieennnt… » comme le braille Bouchitet dans le « Grand fleuve tranquille »…
Signé : Saint Pôlapôtre (à ne pas confondre avec Saint Pôlemploy ; quoique l’un comme l’autre n’aient jamais fait de miracle. Autrement, ça se saurait.)
Ah bon… je comprends mieux. Je me disais aussi… le locataire actuel, agité, franchement, ce n’est pas trop l’adjectif qui vient à l’esprit. L’autre, là, façon De Funès qui aurait bouffé des amphèts, effectivement. Voyez comme il a su placer ses billes, l’Agité en question, comme ses ouailles se sont rapprochées du tabernacle et l’entourent désormais avec ferveur. Touchante unité retrouvée.