( Dans le style « Je me souviens », merci Georges Perec (*)… l’interlude au petit train sur la chaîne 2, à l’époque où il y avait juste deux chaînes… la musique de ce petit train de bois pour meubler, vous vous souvenez ? moi si. Et le top, c’était quand il y avait le bête carton fixe et monochrome « Veuillez nous excuser de cette interruption de notre interlude » . Bon, c’était ma séquence nostalgie… )
… Car on a besoin de se remémorer les bons moments, en ces temps de merde où tout le monde soupçonne tout le monde, sauf à deux mètres de distance. Il n’y a plus que ça ! Le Covid, le Covid, et puis quoi ? et puis rien. Un Covid sinon rien. Vous pouvez imaginer, j’ai la plume sèche, ces temps-ci (pas la toux, la plume : jusqu’ici ça va). J’ai donc décidé de me / vous divertir quelque peu. Marre du Covid, et vous aussi, sûrement.
On pourrait commencer avec la situation actuelle, genre « Nous sommes en 2038, et Robert entame le dernier des rouleaux de PQ achetés par ses parents en mars 2020« . Mais j’ai retrouvé un certain stock d’aphorismes, certains de mon cru, d’autres piqués ici et là. Je vous en distille quelques-uns. Et, courage ! Il vous reste quelques paquets de spaghettis.
- Empruntez plutôt aux pessimistes : ils s’attendent à ne pas récupérer leur argent.
- Une conclusion, c’est là où vous êtes trop fatigué pour continuer.
- Si ça ne marche pas la première fois, n’insistez pas : le parachutisme n’est pas votre truc.
- L’ennui, à faire quelque chose du premier coup, c’est que personne ne perçoit combien c’était difficile.
- Pour une bonne organisation : toujours piller AVANT d’incendier !
Bon, c’est tout pour aujourd’hui. Faut pas abuser des bonnes choses. Au fait : ça y est ! on va recevoir des masques en pagaille, ce n’est pas trop tôt. La Chine nous en envoie un très très gros stock. Souhaitons qu’ils ne soient pas fabriqués à Wuhan !
Tibert, claquemuré.
(*) Perec et non pas Pérec : pas d’accent. Vous pouvez vérifier… c’était notre séquence Culture.