Je lis ça et vous n’imaginez pas comme ça me réjouit : Canal + boit la tasse, « Canal + ne se relève pas« , titre le Parigot. C’est bien fait ! cette chaîne qui pratiquait la danse du ventre pour attirer des abonnés, et puis après démer… brouillez-vous pour tenter de vous désabonner si l’envie vous en prend malencontreusement : bon courage dans cette douloureuse, difficile et longue épreuve. J’ai déjà donné, merci bien. Et puis le foot, le foot, hein, pfff, y a autre chose sur terre.
Un peu plus loin je lis ça, toujours sur le Parigot : « Made in France : un plan pour… « . C’est bien beau de protéger les entreprises locales stratégiques, mais si on commençait par l’écrire en français, qu’on l’a fait chez nous ? « Fabriqué en France » c’est moche, d’accord. Mais « Fait en France » ça sonne bien, c’est clair, ça le ferait, et ça ferait aussi la nique au « made in… » qui est, avouez-le, un peu beaucoup envahissant. Et puis ça ferait travailler un peu les anglophones en langues étrangères, ça les changerait.
Enfin et comme d’hab’, un carnage de plus aux USA, un jeune qui flingue dans son école – dix-sept morts et des tas de blessés – parce qu’on l’a vexé, ou autre raison extrêmement valable : comme d’hab, le Monde titre « Cette quatre-cent-vingt-septième tuerie de masse relance le débat sur les armes à feu gnagnagna… » : ben non, c’est du flan, ça ne relance aucun débat. Rien de rien débat : Dieu protège la NRA, et puis le deuxième amendement, et ceux qui sont pas contents aux USA ont qu’à s’acheter eux aussi un dépôt d’armes et de munitions pour se protéger. Et puis, c’est chouette tout de même, les familles atterrées et en deuil ont chaque fois droit à un touïtt plein de condoléances de Donald T. : ça fait du bien, non ?
Tibert
… Ne soyez ni injuste ni aveugle, Tibert : le second amendement et la NRA seront peut-être un jour les seuls auxquels on devra d’être définitivement débarrassés d’Onc Donald ! Et au Feng-chui aussi : paraîtrait que l’année (déjà sérieusement entamée…) qui vient lui serait particulièrement défavorable : il est né en 46, l’année du chien-de-feu (à son propos, on pourrait même dire du cabot… teint*) et 2018 sera l’année du chien de fer (comme les Chemins de ? ) : Ce qui signifierait que « Va y’avoi’ de la baga’ » (Laurel & Hardi.)
http://www.nordnet.fr/infos/insolite/l-annee-du-chien-les-griffes-seront-sorties-predisent-les-maitres-feng-shui/urn.newsml.afp.com.20180214.doc.zq31e
M’enfin, tout ça se passe de l’autre côté de la grande mare aux canards et ne nous concerne que de loin. Pourvou qué cha né donné pas des idées à notre Macrodogan ! notre « Président-Soleil » à nous**. Heureusement que le niveau culturel général s’améliore ici et ailleurs, comme je le soulignais récemment : Merci Internet !!!
https://insolentiae.com/dimitri-casali-historien-nous-sommes-en-pleine-regression-intellectuelle/
(*) Vous avez remarqué ? Lors de sa dernière (et pas ultime, hélas !) apparition télévisuelle, sa tignasse est redevenue rousse comme devant, alors que précédemment il était tout blanc… comme neige ! Et je ne parle pas de ses petits yeux de cochon, qui font comme deux amandes blanches sur le fond orange de son bronzage à la lampe à U.V. Combien de temps consacre-t-il tous les jours à ses brushing, teinture et autre bronzing ? Tout en état payé comme président à plein temps… Ch’rais curieux de savoir… Sans compter les heures devant la télé, paraît, et… le reste !
(**) C’était le surnom affectueux donné au président Félisque Faure, vu son appétence pour les fastes… Voyez pas ??? Mais si ; çui qu’est mort entre les bras de sa maîtresse dans un salon de l’Élysée (on n’y a même pas accroché une plaque commémorative. Et pourtant…)
Excellent, le cabot teint. On songe aussi à Sua Emittenza, il Cavaliere Berlusconi, qui en bronzage – pas en teinture – en remontre à Trump haut la main. Pour bien gouverner il faut peut-être avoir un beau bronzage, pourrait-on en déduire, et comme le remarquait finement Berlusconnerie, justement, à cette aune Barack Obama était encore meilleur…
Félix Faure était célibataire, il avait une excuse. Flamby aussi à la fin de son mandat, mais lui avait son scooter.
Bonsoir Messieurs.
« Lectures à réaction »… « chemin de feu, chemin de fer »… la faute à Timothy si je m’immisce…
Le monde est distrayant, je ne cesse de m’esbaudir.
En farfouillant sur un site de vente de vieilleries, voilà-t-il pas que mes yeux effarés déchiffrent : « vends commode SNCF, très bon état ». En quoi peut bien consister une commode SNCF ? Je sais bien que la Société moribonde brade à tout va, mais j’ignorais qu’elle possédât des commodes. A moins que… le démantèlement des wagons-lits ?…
Commodes… SNCF… la chose s’obstinait à gripper mes pauvres méninges, déjà bien encalminées, soit. En cliquant sur la photo jointe, un souvenir vint élucider le pataquès : eh oui, ma grand-tante – décédée depuis bien des décennies – possédait une commode dont le mécanisme avait enchanté mes jeunes années (qui, hélas pour moi, ne couraient pas dans la montagne). A savoir que sa partie supérieure était mobile, son ouverture révélait un recouvrement de marbre et la présence d’un miroir qui la convertissaient en table de toilette. Or le coulissage du plateau était assuré par deux rails métalliques enclavés dans la boiserie, d’où cette appellation de « chemin de fer » me révéla ma grand-tante…
A quand la commode TGV ?
Intéressante dénomination : c’est donc d’une commode « Chemin de Fer » qu’il s’agit – entre autres utilités, meuble de toilette si l’on y adjoint, sur le plateau de marbre, le broc et la cuvette en faïence qui vont z’avec ; j’ai ai une, assez décorative mais pas vraiment pour la toilette. Ceci dit, la SNCF ayant été créée en 1938, l’appellation « commode SNCF » est abusive ; cette antiquité date probablement de quelques décennies avant. Tout cela ne nous dit pas comment remettre le service public du train « sur les rails », et si j’en crois les échanges des lecteurs sur les principaux canards nationaux, c’est assez la bouteille à l’encre. Mais y a pas, faut le faire !
… Question que je me pose (De temps en temps. Faut pas exagérer non plus, hein !) dans mon château-fort intérieur, une fois le pont-levis relevé, les herses bouclées à double tour et le derrière des tentures soigneusement vérifié : ça a quet’chose de particulier, le zizi d’un président de la République pour que des tas de nanas se pâment rien qu’à l’idée d’y avoir accès ??? Y’en a même qu’en font des bouquins… et qui se vendent, c’est ça le pire ! Ahlàlà, quel dommage : ch’uis trop vieux maintenant ; j’ai raté le coche mais vous imaginez, « Merci pour ce bon moment… » version « Folle de Chaillot » ??? Le pognôôôôôôôn qu’y avait à se faire !!! de quoi « assurer ses arrières » – Hum… au prix d’un léger sacri-fesses, mais ça doit pas être pire qu’une bonne coloscopie, nââân..? – une fois pour toutes !
Y’a des fois, on n’a pas le bon réflexe moi je dis. Pis paraîtrait que ce genre de massage local est très efficace contre les zéro-moïdes : tout bénef !
Allez ; faites de beaux rêves tout de même.
Limite grasseyante, votre intervention. Mais bon… le pouvoir, le pouvoir, tout est là. On claque des doigts et tout peut se réaliser, ou presque. On est bien loin du zizi, là, c’est en l’occurrence très très accessoire, voire insignifiant. Juste un prétexte.
… Grasseyant, grasseyant, moi ??? J’espère que vous voudrez bien tout de même, cher Tibert, porter publiquement à ma décharge que je suis toujours resté très en deçà du graveleux et que j’ai abordé ce sujet pénétrant avec un doigté remarquable, nââân ???
Quant au mobilier ferroviaire de Mme Golondrina – que je salue bien bas au passage (à niveau) -, il reste à craindre qu’au jour d’aujourd’hui, Madame le (la) Ministre(sse)* des Transports (amoureux ?) l’ait beaucoup moins commode avec la SNCF…
Respectueusement vôtre,
T.O.
(*) Barrer la mention inutile.