Il paraît que monsieur Bussereau, le malheureux adversaire régional de maâme Royal – on s’attend à ce qu’il prenne une belle veste dimanche prochain – craint l’arrivée des Verts (tendance Europe : Bové-DCB-Duflot-Joly, etc) dans les instances de gouvernance régionales. Il s’inquiète pour de grands projets d’autoroutes, d’aéroports… je lui souhaite de s’inquiéter, et les bétonneurs fous z’avec.
Il est clair que monsieur Bussereau, sans trop le dire, craint aussi la veste électorale, dimanche prochain, pour lui et ses copains de l’UMP. Bon courage, monsieur Bussereau.
Il est clair également que ce truc, là, ce machin de dimanche prochain, la votation qui s’annonce, nous bouche le paysage. Ras le paysage, la casquette, et le bol en prime. A vous décourager d’écrire son blog, et c’est bien là ce qui m’inhibe, me gèle les neurones, me paralyse le bout des doigts. Vivement lundi, qu’on passe à autre chose !
Le lecteur avisé pourra utilement zapper la soirée électorale, les femmes-et-hommes politiques naviguant de plateau télé en plateau de petits fours, et leurs rengaines, engueulades factices, coups de gueule, tirades prévisibles, convenues, fatigantes des soirs d’élections.
Dégagez-nous l’horizon, que diable, du vent, de l’air ! un peu d’air pur, si ce n’est pas trop demander… chers futurs nouveaux élus, au boulot, puisque paraît-il vous ne demandez que ça… au turf ! verts ou pas. Et place au printemps : le printemps ! ouais ! youpee !
Tibert