La mauvaise nouvelle d’abord, ou la bonne ? allez, on finira avec la bonne. A Palavas, bled maritime proche de Montpellier, on a volé, dans l’église Saint-Pierre, les santons « chers » de la crèche de Noël. Préjudice de 300 euros, pas une fortune… mais c’est dégueulasse ! ceux qui ont fait ça sont des ignobles. Une église, en principe, c’est ouvert – de moins en moins, justement à cause des voleurs, qui en profitent. Viendront les jours où les églises resteront fermées sauf en de rares occasions, du fait des vols ET du fait que les anciens – surtout des anciennes, les mâles lâchent la rampe plus tôt – qui viennent encore y prier seront passés de l’autre côté. C’est triste ? c’est triste. Mais ce qui interpelle, c’est la réaction de celle qu’on interviouve dans l’article cité : « Là, j’ai du mal à pardonner » . Les bras m’en tombent… Mais zut quoi, il n’y a rien à pardonner ! c’est un délit crapuleux, d’une bassesse particulière. On porte plainte, dans ces cas là, et l’on espère vivement, parce que c’est infâme, que… 1) les fautifs se feront gauler, ce qui n’est pas gagné ; 2) qu’ils seront fermement punis, ce qui n’est pas gagné non plus ! Eh oui, pour espérer voir punir les malveillants et leur ôter l’envie de recommencer, il faut conjuguer police efficace + justice ferme. C’est simple, mais pas tant que ça.
Et puis je me suis dilaté la rate à lire l’accroche d’un podcast (une bande audio, quoi…) sur le site Houèbe de Ouest-France. C’est une mignonne histoire, où la technique (la technologie, comme on dit pour faire plus de mousse) et l’astuce viennent au secours d’un chien-chien en difficulté. Comment un drone-saucisse a permis à Médor, qui n’était pas végétarien, de retrouver ses bons maîtres…
Allez, à +, si vous le voulez bien.
Tibert