On se souvient peut-être de la tentative loupée du maire de Grenoble, monsieur Piolle – d’aucuns le surnomment Piolle-Pot – de faire entrer benoîtement les burkinis dans les piscines de sa ville. L’argument, c’était que, burkini ou seins nus (topless, comme on dit), il voulait que les femmes soient libres de choisir leur tenue… pieuse fiction pour permettre aux « barbus » et à leurs ouailles dévotes et copieusement vêtues d’entrer en conquérants dans les piscines : un espace de gagné, un !
C’est exactement la même musique que des lycéens servaient hier à Clermont-Ferrand, devant le lycée Ambroise-Brugière : ils réclamaient la liberté de s’habiller comme bon leur semblait, abaya – la robe couvrante et très musulmane au proche et moyen-Orient, voire le qamis pour les mâles – ou crop-top, nombril à l’air sous un très court corsage pas sage… lycéens appuyés par une délégation de l’UNEF, dont on connaît le militantisme communautariste (voir cette page Wiki, où est évoquée la proximité de cette organisation avec les « Etudiants Musulmans de France » .
Bref, les militants de l’Islam conquérant re-montent, encore et encore, à l’assaut de nos bases démocratiques, en l’espèce le principe de laïcité. On ne va pas combattre ça à coups de soutanes, tonsures, croix de 50 cm, kippas : TOUS les signes ostentatoires religieux sont proscrits dans l’école de la République. C’est pourtant clair…
Il est UNE solution simple, évidente, à ces assauts lassants contre nos valeurs : l’uniforme. Les Anglo-Saxons, les Japonais, et d’autres, font comme ça : ni qamis ni soutane ni kippa ni hidjab ni abaya ni rien de tel : un même costume pour chacun des deux sexes ; ceux de l’entre-deux ? on règlera ça au cas par cas, ils sont peu nombreux.
On sait que ça coûte, un uniforme, il y a un budget pour ça : la paix civile a un coût, soit ! Ceci étant, d’aucuns en auront ainsi fini avec la ruine d’acheter les dernières godasses, blousons, futals… à la mode et griffés : au total, des économies. Monsieur le ministre Ndiaye de l’Educ’Nat’ ne serait pas hostile à étudier la chose, paraît-il ? en tournant la phrase au positif, « serait favorable à… » ça ira sûrement plus vite. Qu’est-ce qu’on lambine, dans ce pays !
Tibert