On apprend que la CAMIF est en cessation de paiement.
La CAMIF, la coopérative des pédagos, LE catalogue CAMIF… à la dérive. Incroyable, non ? non. Normal, comme la Reboute, qui aurait dû s’en (re)douter.
Régulièrement je recevais des courriers (des « mailings« , en jargon de pub’) de la CAMIF : 8, 10 bouts de papier en vrac, des enveloppes T, des bons, le tout en liasse, vantant une remise extra-super sur les chaussettes en coton, ou une promotion exceptionnelle sur les boutons de porte, ou une baisse des tarifs sur les pages 492 à 495 du catalogue, sauf les articles bzzz bzzz bzzz… etc. Quasi les méthodes de la Reboute ou des 3 Chuiches, sauf peut-être un poil moins de rentre-dedans (« Oui, madame Duval, vous avez gagné cette magnifique montre-cuiller à café en véritable bronze plastifié ! Renvoyez vite votre bon de participation, ne laissez pas passer cette chance unique…« ).
Quand on en vient à ce genre de merdouilleries, c’est que la fin est proche…
Adios CAMIF, comme Dubo-Dubon-Dubonnet, comme « Dop-dop-dop », comme « Chers z’amis, bonjour ! » ; mais sûrement pas « à demain, si vous le voulez bien ».