La crise (prononcer Kkkriîse) sera-t-elle soluble dans les flots de fric que les états – dont le nôtre – abreuvent les sillons des banques ? cette thérapie semble en tous cas avoir des effets bénéfiques sur le niveau des primes versées aux cadres des institutions financières, responsables de la mouise où ils se / nous ont mis : belles primes, de quoi arroser ça, donc, voyez AIG aux USA.
Autre question, la crise sera-t-elle soluble dans les cortèges de manifestants et les beuglements « Sarko des sous » ? entendra-t-elle les voix qui montent vers elle, les complaintes itératives et chroniques des enseignants, les états d’âme des chercheurs, aura-t-elle pitié des fonctionnaires et assimilés, partis aujourd’hui pour leur 4.974 ème République-Bastille, ou Nation-République ?
A vos statistiques syndicats-police, ce soir… comme d’hab.