Et puis qu’ils larguent les amarres, marre… cap à l’Ouest, tournant le dos à ce continent indécrottable qui ne les mérite pas. Néanmoins et cependant, que prospèrent et yop là boum les liens commerciaux indéfectibles qui permettent de continuer à faire du bizness juteux, zone de libre échange, la City, toutes ces sortes de choses : pas de problème, ça ils aiment.
Reste que l’Europe, allégée des Grands-Bretons, va illogiquement et toute honte bue continuer à user et surtout abuser de la langue que leurs cousins d’outre-Atlantique ont imposée au monde. L’Europe, une armée de traducteurs simultanés ou non, mais au quotidien la langue d’un pays non-membre de l’UE. Cherchez l’erreur… les Irlandais ? ah certes les Irlandais, Européens, eux. Ils la parlent, effectivement, après la langue celte ( celtique ? ) officielle. Ce n’est pas pour autant le grand amour ! et on les comprend, vu leur lourd passé / passif commun.
Tibert
PS – le surlendemain : à Bruxelles-une-fois, on a également constaté que le seul pays de l’UE ayant déclaré la langue anglaise comme sa langue est le Royaume-Uni. Il n’est plus là ? il n’y a plus de locuteur anglais à Bruxelles, ce n’est donc plus une langue de travail de l’UE. Cf l’Express avec cet article.