On dit (mais que ne dit-on pas) qu’Arlette (« tu rotes Charlotte, tu … Arlette ») aurait ses 700 signatures haut la main. Longue vie à Arlette, qui par un miracle que je ne m’explique pas, parvient à convaincre 700 élu(e)s qu’elle va enfin dire quelque chose de pertinent, positif, et qu’elle a ses chances pour l’Elysée.
En revanche (il ne faut pas dire « par contre », très incorrect, « par contre ») Jean-Marie le Borgne aurait du mal à rassembler le quota nécessaire pour se présenter. Voilà une nouvelle moche, moche pour la démocratie – 17 % de voix c’est représentatif) , moche pour la liberté – car ça veut dire qu’on fait pression pour empêcher qu’il ait ses signatures – et moche pour le débat, car ça enlève de l’intérêt à la campagne.
Comme disait l’autre ; « je suis contre ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ».
Ceci dit (Bel-Abbès), on dira que les 500 signatures c’était pour que les farfelus ne puissent pas se présenter : eh ben c’est loupé, et dans les deux sens.