Et vous, c’est bon, votre truc ?

Le plan de déconfiturenement est là, on va y aller, on y va. Espérant que les introuvables masques seront au rendez-vous, et contingentés ! le phénomène PQ (riz, pâtes, huile, sucre, farine…) risque fort, en effet, de se reproduire pour les masques. Dès qu’un rayon en proposera, il sera vidé, lessivé, caddies pleins ras la gueule de masques, de quoi tenir jusqu’à l’an 40 (de ce siècle, tout de même) pour ceux qui les auront raflés ; les autres mettront leur cache-nez, sur le nez, justement. Avec des trous de 0,3 mm entre les mailles, les Covid à 0,5 µm de diamètre ne risqueront pas de passer à plus de 50 de front !

Mais bon, on aura peut-être trouvé quelque chose d’ici l’été… en attendant cette échéance, les cafetiers-bistrotiers vont pouvoir aménager leurs espaces de clientèle : traçages au sol, entrée et sortie distinctes, le zinc compartimenté, 1 mètre de large par gus, avec des parois pare-postillons, en plexiglas tout de même pour qu’on se voie et se sourie, et rinçage (de la glotte) à l’eau de javel pour tout le monde – c’est la méthode Trump, avec ça on est clean ! Ah j’oubliais, pour les oeufs durs qu’on fait glisser avec un ballon de Côtes : tout oeuf touché sera considéré comme vendu ; le sel : non plus dans la saupoudreuse qui trône habituellement au centre du présentoir, mais dans des sachets jetables, oeuf corse !

Et puis cette bonne vieille promiscuité parigote dans les boui-bouis… le rendement au mètre-carré… classiquement, on arrive à coller deux personnes face à face, autour d’un guéridon de 45 cm de diamètre, la corbeille de pain, le sel, le poivre à leurs pieds, y a qu’à se baisser… et en plus ils ne protestent pas… le guéridon voisin à 30 cm… quand vous coupez votre escalope, attention à votre coude droit, qu’il n’aille pas éborgner le type de la table voisine !  et les éclaboussures… c’est chouette, on peut piquer dans son assiette quand il regarde ailleurs, sans se contorsionner, ou mélanger les conversations… c’est bon votre osso bucco ? bof, les pâtes sont trop cuites, mais votre onglet a pas l’air terrible non plus… je peux goûter ?

… c’est chouette, mais c’est terminé ! La distance, il va falloir respecter la distance. En gros, de 20 tables on va descendre à 7-8 grand maximum ; les serveurs pourront louvoyer et manoeuvrer à l’aise ; fini le stress ! De même que les eaux de la lagune vénitienne redeviennent transparentes – on y a même vu des canards, un poulpe égaré… – les « garçons » parisiens vont dorénavant se montrer serviables et souriants. c’est dingue, non ? Et  puis, faisons un rêve : si les cafetiers s’avisaient enfin que leurs guéridons sont légèrement sous-dimensionnés ?

Tibert, serviette autour du cou

Bidouilleurs confinés, c’est à vous !

Je lis dans la presse, ce matin, que quatre grosses pointures, Air Liquide, Schneider, PSA, Valeo, se sont associées sous la houlette de la première pour produire en masse des respirateurs artificiels. Les gouvernants ont passé commande, délais, prix, gnagnagna, il y a urgence… Il y a deux modèles, un compliqué, le T60, et un plus simplet :  Osiris-3, qu’il s’appelle… Bref, je résume, on fabrique rapidos plein d’Osiris-3, y a l’feu. Le problème, c’est que ce genre d’appareil ne semble pas adapté aux cas sérieux du Covid-19 ; tout juste pour un transport de malade, pour un raccord…  (*) ah zut alors. C’est pas d’chance.

Mais qu’à cela ne tienne, SEB, qui a sûrement fabriqué quelques-uns des engins  utiles ou stupides qui trônent sur la paillasse de votre cuisine, ou croupissent au fond d’un placard, reliques d’une Fête des Mères : bouilloire, grille-pain, mixeur, ratatine-ordures, calibreuse à frites etc… s’est lancé à fabriquer des respirateurs au low-cost, 1.000 euros pièces, trois fois moins cher que l’Osiris-3 pourtant pas plébiscité par les pros (c’est une litote). Est-ce que ça va fonctionner ? on n’en sait encore rien. C’est vingt fois plus cher qu’un grille-pain moyen avec ramasse-miettes, mais ça ne fait pas la même chose. A suivre.

Tout ça pour dire qu’au concours Lépine (en un seul mot, et au singulier) du bricolo-respirateur, vous avez votre chance. Des vieilles planches, une perçeuse sur établi, un poste à souder, des clés à pipe, du papier de verre ? c’est à vous.

Tibert

(*) Il paraît que les Grands-Bretons et leur National Health System s’en trouvent satisfaits… si vous avez une info pertinente là-dessus… ?

Placebo, ça vous plaît ?

Oui, je sais, je me fais rare. Que voulez-vous, le con, le concon, le confinement, voilà le problème – outre la pauvreté des évènements, qui se limitent au co, au coco, au covid.

Mais je lisais il y a peu une glose sur les arguments du célèbre professeur Raoult, de Marseille, pour défendre sa façon de faire des essais cliniques. C’est loin d’être stupide, ce qu’il dit. Un peu forcé, peut-être… la comparaison avec les essais d’efficacité d’un parachute est réjouissante, enfin, vu de l’extérieur ! vous collez X cobayes pour étudier le truc, dont une proportion dotée d’un placébo : un parachute factice, donc, mais vachement ressemblant à un vrai, une copie crédible, donc. On fait ça en double aveugle, ça le fait mieux et plus sérieux : ni vous ni eux ne doivent savoir si c’est un parachute ou un paquet de vieux Paris-Match. Et vous larguez tous ces braves gens de 2.500 m d’altitude, pour voir…

Mais, soyons sérieux : supposons, supposons que vous soyez covid-positif et atteint, salement amoché, les poumons en marmelade, à la presque agonie, cas désespéré, quasiment… on vous propose d’essayer un médoc supposé faire beaucoup de bien, voire vous sauver la peau – enfin, on le pense, c’est très encourageant. Mais… mais faut faire ça dans les formes, sinon ça vaut pas !  il y aura donc un groupe « placebo », qui recevra du sirop de grenadine en intra-veineuse, mais chuuut, on ne vous le dira pas, pour ne pas perturber les résultats. Vous êtes partant ? ah, vous refusez d’être dans les placebo ? mais vous le saurez pas ! … ah, vous voulez le médoc ? mais c’est un essai, voyons…

Tibert

l’arroseur, tout mouillé, comme d’hab

Il y a peu, j’écrivais « Boris le Blond, le Churchill du Brexit, annonce aux Britanniques de la sueur, du sang et des larmes : « Beaucoup de familles perdront des proches ».

Ce jour, je lis que Trump, le pote à Boris, le grand ami des Britanniques, y va d’un « tous les américains prient pour [son] rétablissement« . J’y vois là au moins deux mensonges, disons plus gentiment deux abus de langage :

  • Que monsieur Trump se croie fondé à parler au nom des Etats-Uniens, ça peut s’admettre ; mais les Canadiens, les Guatémaltèques, les Argentins, les Mexicains… tous habitants des Amériques, ne sont pas ses administrés, que je sache. Cette façon des USA de s’annexer un continent entier est assez détestable.
  • Non tous les Etats-Uniens ne prient pas pour monsieur Johnson : j’en suis sûr, car je connais de ses compatriotes, qui ont deux sous de jugeote et ne gobent pas le truc à dormir debout du Grand-Sachem-Barbu qui veillerait sur nous, là-haut derrière les nuages – il nous aurait même envoyé son fils en otage ! – bref, des salades et des contes de fées.
  • S’agissant du Boris qui est en soins intensifs à Londres et annonçait benoîtement aux Britanniques qu’ils allaient, en nombre, perdre des proches, permettez-moi un rictus amer : c’est encore et toujours l’histoire du mec qui se prend les pieds dans le tapis qu’il vient de dérouler. On ne va pas dire que c’est bien fait – ne soyons pas inutilement méchant – mais tout de même, imaginons qu’il existât par extraordinaire un Grand-Sachem-Barbu qui, de là-haut, administrasse une bonne leçon à un décideur blond et froidement cynique : on aurait là un bon scénario – peu crédible, certes, mais vendable.

Tibert

Si on causait d’autre chose ?

Oui, parlons-écrivons ailleurs que sur le coco, le cococo, le covid. On oublie le PQ, l’huile, les pâtes, la farine, le sucre, le riz, les cubis de vin rouge manquants ( les cubis de pinard – autres que les très bas de gamme « de la communauté européenne », le rosé raide et insipide de l’été prochain, les blancs qui fichent la migraine – introuvables ! révélateur, non ? quels sont les salauds qui osent me priver de mes bags de 10 litres de Gaillac, de Corbières, de Côtes-Roannaises ? ). Mais si, on oublie !! on essaie d’oublier la confination confinementale, les justificatifs de perlin-pinpin, tout ça.

Un bouquin que je lis en ce moment nomme cette plaquette – plate, évidemment – et d’environ 16 cm sur 9, dont des tas de gens scrutaient hypnotiquement la surface brillante et colorée dans la rue – au risque de se prendre un lampadaire dans la poire – et que maintenant ils ne scrutent plus que chez eux, la rue étant bannie, virgule, je disais donc, dans ce bouquin on nomme ce truc un ordiphone. Oui madame, ordiphone ! Pas mal, non ? Le problème, c’est que les journaleux, ceux qui hélas donnent le LA – faux comme une casserole –  de la façon de parler et d’écrire, continuent lamentablement de nous coller des pouces comme unités de mesure, des smartphones, des fake-news etc : indécrottables. Que tenter ? faudra-t-il souhaiter méchamment – et en vain – que tous ces suppôts du frangliche soient exterminés par la vague virussienne ? l’ordiphone a hélas autant de chances de s’imposer dans notre langue que les allumeurs de réverbères et les réparateurs de bidets de reprendre du service. Moi j’en tiens pour le mobile, le cellulaire, le fofone. Mais vox clamantis in deserto… tu peux t’époumoner, Tibert, tu peux flûter… le frangliche, yaksa !

Tibert, virgule

Interlude

( Dans le style « Je me souviens », merci Georges Perec (*)… l’interlude au petit train sur la chaîne 2, à l’époque où il y avait juste deux chaînes… la musique de ce petit train de bois pour meubler, vous vous souvenez ? moi si. Et le top, c’était quand il y avait le bête carton fixe et monochrome « Veuillez nous excuser de cette interruption de notre interlude » . Bon, c’était ma séquence nostalgie… )

… Car on a besoin de se remémorer les bons moments, en ces temps de merde où tout le monde soupçonne tout le monde, sauf à deux mètres de distance. Il n’y a plus que ça ! Le Covid, le Covid, et puis quoi ? et puis rien. Un Covid sinon rien. Vous pouvez imaginer, j’ai la plume sèche, ces temps-ci (pas la toux, la plume : jusqu’ici ça va). J’ai donc décidé de me / vous divertir quelque peu. Marre du Covid, et vous aussi, sûrement.

On pourrait commencer avec la situation actuelle, genre « Nous sommes en 2038, et Robert entame le dernier des rouleaux de PQ achetés par ses parents en mars 2020« .  Mais j’ai retrouvé un certain stock d’aphorismes, certains de mon cru, d’autres piqués ici et là. Je vous en distille quelques-uns. Et, courage ! Il vous reste quelques paquets de spaghettis.

  • Empruntez plutôt aux pessimistes : ils s’attendent à ne pas récupérer leur argent.
  • Une conclusion, c’est là où vous êtes trop fatigué pour continuer.
  • Si ça ne marche pas la première fois, n’insistez pas : le parachutisme n’est pas votre truc.
  • L’ennui, à faire quelque chose du premier coup, c’est que personne ne perçoit combien c’était difficile.
  • Pour une bonne organisation : toujours piller AVANT d’incendier !

Bon, c’est tout pour aujourd’hui. Faut pas abuser des bonnes choses. Au fait : ça y est ! on va recevoir des masques en pagaille, ce n’est pas trop tôt. La Chine nous en envoie un très très gros stock. Souhaitons qu’ils ne soient pas fabriqués à Wuhan !

Tibert, claquemuré.

(*) Perec et non pas Pérec : pas d’accent. Vous pouvez vérifier… c’était notre séquence Culture.

Du beau, du bon… du spritz !

De quoi qu’on cause ? ça commence par C majuscule, o-r-o etc etc. Il n’y a plus que ça, de toutes façons. Tenez vous bien, le Prince Charles, 71 balais, celui que sa mère nargue à longueur de temps « Non et non tu monteras pas sur mon trône, nananè-reu !  » (*), il est covid-positif ! Allez hop, en isolement avec sa Camomilla. C’est une catastrophe majeure, en temps normal Voici-voilà, Pipole et Glagla auraient tartiné un max là-dessus, mais ils sont réduits au silence, confinés eux aussi !

Et puis il y a du tirage entre les gros pontes de la virologie. Monsieur Raoult, de Marseille, à la barbichette dartagnantesque, ayant eu le culot de proposer le premier un traitement, s’est mis à dos tous ses confrères, vexés. Du coup il se met en retrait, tenez, c’est là… moi je pense que c’est pourtant simple : on a pléthore de patients en passe de « passer », justement, et foutu pour foutu, la chloroquine, pourquoi pas ? essayez, on verra bien, et ça urge. Le sérieux des protocoles de test ? certes ! le double-aveugle, le placebo, tout ce que vous voulez, mais quand on se noie, on ne regarde pas si la bouée est labellisée AFNOR.

Ceci étant, il y a du mieux ailleurs ! la pollution recule drastiquement. Tenez, les eaux de Venise sont redevenues transparentes (**), comme en 1912 quand Thomas Mann en causait – sans gros bateaux-taxis rutilants, vaporettos et gondoles en pagaille. « Faute de touristes« , titre Le Parigot, mais justement que c’est bon Venise sans touristes ! dommage que ses habitants soient eux-mêmes menacés, confinés… ils en redemanderaient, du Corotrucmuche.

Tibert

(*) Je traduis grosso-modo de l’anglais, mais c’est à peu près ça

(**) On peut enfin apercevoir les vieilles godasses et les carcasses de vélos au fond du Grand Canal.

Privilégier le « local »

Sans les Stukas à vrombir au dessus de leurs têtes mais avec le Corotrucmuche aux basques, les Parigots, comme en Mai 40 avec les Celtaquatre surchargées et le matelas sur le toit (*), déferlent sur la Province, réputée plus peinarde, moins pénible à se confiner, mieux nourrie… ceux qu’on traitait de bouseux jusqu’il y a deux mois se retrouvent parés de moult vertus…

… sauf que ça déséquilibre le pays, que les soignants de la cambrousse – déjà pas assez nombreux en temps normal – et les petits hôpitaux locaux ne sont pas de taille à traiter tout ça, surtout quand les citadins arrivent déjà toussant et fiévreux. Certains responsables locaux s’insurgent, à juste titre. Là où nos malheureux voisins italiens en sont à choisir qui laisser « filer », lesté de morphine, et qui tenter de sauver, si on sauvait chez nous les malades « locaux » en priorité ? non mais, sérieusement… je blague, là. Quoique…

Tibert

(*) Voir le début de « Jeux interdits« , par exemple. On pourra zapper la musique, devenue le Pont-aux-ânes du guitariste débutant.

Des moeurs ratières, ou ratesques

Vous le savez sûrement, cette fameuse attestation de déplacement dérogatoire, à imprimer en liasses sur sa bécane informatique, ou à remplir péniblement à la mimine… bien évidemment le gouvernement en tient le modèle à la disposition des citoyens. C’est gratuit, si si, et c’est bien normal. Mais des rats trouvent le moyen, sur la Toile, de réclamer aux naïfs, ou aux novices de la souris, du fric pour qu’ils puissent télécharger le document. Notez au passage, les moteurs de recherche, Bling, Gougueule… et compagnie sont complices, vu qu’ils dirigent sans scrupule sur les sites de ces flibustiers. Cependant que, par ci par là, on fracture les bagnoles des soignants pour y piller les masques de protection ou les flacons de gel désinfectant, ou bien on « casse » les armoires des hôpitaux aux mêmes fins. Pas pour se mettre huit masques empilés sur le museau, non : pour les revendre. Petit bizness de crapules.

Dans le même ordre de moches idées, tenez, ces petites industries qui turbinent, non pour sauver des vies, mais toujours pour le bizness : il s’agit de fabriquer, stocker, fourguer « au noir » des masques de perlin-pinpin et du faux gel désinfectant. Aux stations de métro, au lieu ou en plus des  faux parfums (le Numéro 5 de Chamel vient tout droit d’une cave du 9-3), des cibiches de contrebande… on va vous proposer du gel bidon et des masques, à un prix d’ami, évidemment. Paris avec sa couronne (sa couronne-à-virus) brille particulièrement dans ce type d’activité charognarde. Elle est pas belle, l’espèce humaine ?

Tibert, au vert

PS – Le professeur Didier Raoult, de Marseille,  claironne que, mais oui, voyons, on sait guérir du Coromachin : la chloroquine, voilà la potion salvatrice ! ses arguments ont l’air sérieux… alors qu’attend-on ? katanton ? mais sans la photo du professeur, ça ferait plus crédible. Je sais, c’est idiot… un préjugé ridicule… les grands savants, les Professeur Tournesol, n’ont que faire des apparences : Einstein, Grothendieck… ils sont au dessus de ça… mais tout de même…

Logique confinementale

Le Grand Confinement est là : donc en principe, on reste à la maison, qui dans son vaste manoir normand donnant sur des vergers de vieux pommiers majestueux ( les écuries ? au fond à droite) ; qui dans son studio 14 m2 sous les toits.  On reste à la maison, on utilisera la bagnole pour les courses (remplacer les pâtes par ce qu’on voudra, y a plus de pâtes) et pour aller au docteur, le cas échéant. Donc la bagnole, à dose homéopathique, très certainement. C’est pourquoi ce matin, une amie devant faire ses courses en bagnole (4 km de la baraque au bourg) et faire le plein vu que ça frôlait l’étiage, a constaté que a) il n’y avait plus de gas-oil aux pompes, rupture de stock ! et que 2) dans les queues pour ravitailler à fond à fond, les jerricans fleurissaient. « Avec ça j’ai de quoi tenir deux mois » (deux mois de confinement), disaient-ils. C’est très con… enfin, il vaut mieux entendre ça que d’être sourd.

Quant aux pâtes, au riz, au PQ, à l’alcool à 90°, les baignoires en sont pleines ras la gueule. Deux mois de PQ, qu’ils on stocké ! De fait, il faut bien le dire, les baignoires sont occupées par les pâtes, et puis on ne trouve plus de bidets pour se nettoyer les fesses, dans les domiciles actuels ; c’est tombé en désuétude, personne ne fait plus ça. Mais cette dure épreuve coronavirusienne va réhabiliter le Bidet, soyons-en sûrs ! Macronious le disait hier : rien ne sera plus comme avant.

Tibert