Casse toi d’ici t’es pas d’ ma bande !

Le télescopage de deux articles du matin me réjouit la rate : 1) Les édiles de Niort, dans le 7-9 – les Deux-Chèvres – hurlent à l’infamie car monsieur Houellebecq a écrit, dans son dernier bouquin à paraître, que cette préfecture serait, je cite, «  l’une des villes les plus laides qu’il m’ait été donné de voir « . 2) Une entame d’article ( il faut payer pour en lire la totalité ) de madame Wanda Mastor à propos de la contagion en France – venant des USA, what else ? – de ce qu’elle nomme « appropriation culturelle ». Quèsaco ? en gros, et pour être concret, selon ce concept, seuls les Juifs auraient le droit de raconter et d’apprécier les blagues juives ; toute référence aux Noirs ne peut être que a) révérencieuse et laudative, b) à défaut, ne peut décemment venir que d’un Noir. C’est clair ?

D’abord je confirme : j’ai séjourné, moi, môssieur, une semaine à Niort, et effectivement c’est plutôt sinistre, grisâtre et morne : aucune envie d’y habiter. Laid ? architecturalement je ne sais pas trop, il y a du très moche – les immondes clochers reconstruits après la Révolution – et du correct, sinon beau ; mais la laideur vient aussi de la mornitude, c’est évident. Monsieur Houellebecq, lui, a écrit « laid« . Et alors ? son livre est-il un guide touristique faisant autorité, le Bibendum des Lieux Incontournables Qu’il Faut Avoir Admirés ? l’un des protagonistes fictifs – le narrateur, peut-être (*) – de son roman l’a trouvée très laide, cette ville… c’est son droit le plus strict, même s’il a mauvais goût, de même qu’il a farpaitement le droit de nous faire savoir son sentiment. En contrepartie, que le maire de Niort s’étrangle d’indignation, c’est tout à fait dans son rôle, ayant à coeur de défendre son bifteck et son fief. Pas de quoi en faire un fromage (de chèvre, évidemment). Que le maire attaque donc M.H. en diffamation – le ridicule ne tue pas !

Ce qui nous amène à l’appropriation culturelle : il faudrait donc quasiment être Niortais de père en fils depuis au moins cinq générations pour pouvoir donner son avis sur ce bled. Et bien zut, la liberté d’expression reste essentielle, chérissons-la, défendons-la.  Tenez, une délicieuse blague que j’apprécie beaucoup : ça se passe dans un petit shtetl ; Moshe n’arrive pas à dormir, il se tourne et retourne dans le lit, et Rebecca, sa femme, excédée, lui demande gnagnagna…

Tibert ( elle est bien bonne, non ? )

(*) Non, je n’ai pas lu « Serotonine ». Nobody’s perfect !

 

L’oeuf et la poule, version jaune fluo

Je suis tombé (sans mal, rassurez-vous) sur cet article du Parigot qui nous montre comment le santon « gilet jaune » de la crêche fait un tabac (brun, le tabac).

Point d’orgue à la saison 2018 de ce blog – sauf si demain l’inspiration me vient en une ultime secousse décembriste – je me pose, je vous pose la question : mon éminent lecteur-contributeur T.O. avait, il y a quelques jours, signalé, commu-niqué sur l’existence anticipée, avant la galette des rois, l’épiphanie, l’arrivée des rois-mages… de la fève-figurine « gilet jaune ». J’avais, au vu des photos de ladite figurine, argué que c’était plutôt un ravi, le bénêt-Simplet en version provençale. Mais qui sait, ce blog et ses valeureux contributeurs ont peut-être inspiré l’usine immanquablement chinoise qui produit à grandes giclées de plastique –  et tardivement – ce santon de la Noël désormais derrière nous ? modeste prouesse, je vous l’accorde, tout petit pas pour l’Homme, certes, mais… allez savoir… allez, je n’en dis-écris pas plus. Le hic, c’est que les santons vont rester, rangés pour un an dans leurs boîtes avant de refaire surface, tandis que les GJ, hein, ça passe, ça passe. D’ici cinquante ans, d’aucuns se demanderont à quoi riment ces figurines obscures et obsolètes. Et nous ne serons plus là pour leur répondre…

Tibert

La carpe jaune-fluo et le rouge lapin

Bon, ce sont les moments bénis où tous les services municipaux sont en sommeil tout partout, mairies claquemurées etc… : vous avez besoin de quelque chose ? un papier, une attestation, un service ? attendez le 2 janvier 2019 ! avec du pot les employés n’auront pas pris leurs congés de maladie à ce moment-là.

Je ne mange pas de ce pain-là, moi môssieur, et je travaille, moi, nonobstant la trêve décrétée par les confiseurs. Tiens, je vais vous dérouler ici même un billet sous les yeux : l’un des lecteurs du Parigot écrivait, à propos de certains Gilles & John qui ont défrayé négativement les chroniques : « jaune devant et brun derrière » : pas le brun-bronze du caca auquel vous pensez, ce n’est pas au niveau du froc que ça se situe, mais du torse : le brun des Chemises Brunes – et paf au point Godwin ! Et, à contempler les agissements ici et là, ça y ressemblerait pas mal, des fois. Ce qui interroge encore plus, ce sont les subtiles manoeuvres (grosses galoches) de la gauche, des gauches, de la CGT, des Insoumis etc… pour bichonner-câliner les GJ, amis-amis-copains-copains : la carpe et le lapin, vous écrivais-je en titre, du moins vu de loin et au vu des orientations politiques affichées ou en filigrane – on m’accordera que chez les GJ c’est assez évolutif et foisonnant, ça commençait modestement par +7 centimes injustes et indigestes sur le gasoil, mais certains en sont maintenant à décapiter Macronibus – en marionnette, rassurez-vous – et à scander « rendez-nous l’ISF » (« nous » : afin que les autres payent, évidemment).

Mais trêve (des confiseurs) de politique ! l’An Nouveau pointe son nez au bout du tunnel ; alleluïa donc, et tous mes voeux de bonheur, lecteurs et lecteurs-contributeurs estimés. Je vous propose en point d’orgue et en conclusion de fructueuses méditations sur ces deux aphorismes :

– La meilleure façon de réaliser ses rêves, c’est de se réveiller.

– La meilleure façon de ne pas se perdre, c’est d’ignorer où l’on va.

… ou toute combinaison des deux.

Tibert, et youpee.

Oui-Oui s’envoie en l’air

( J’en ai marre de Jill et John, ras le béret. On doit en être à neuf morts depuis le début du truc ; Mai 68 fut bien moins sanglant. Il faudra bien un jour remettre les choses à l’endroit : 1) bloquer les ronds-points c’est illégal, et ça fout logiquement tout les gens bloqués en pétard. 2) Moi je prends peu ma voiture, je suis emmerdé mais ponctuellement – notez, ça ne me rend pas les obstinés « on ne lâche rien » de la palette flambée plus sympathiques. Mais les routiers, qui galèrent de blocage en blocage à longueur de journée ? eh bien il y en a qui pètent les plombs, qui tentent de passer en force, d’où les morts récents. C’est lamentable ? c’est lamentable, des deux côtés. )

Mais bon… on a reçu ça, de la SNCF la coquine, la SNCF qui a augmenté méchamment ses tarifs planchers TGV depuis octobre, profitant qu’on avait le dos tourné – exemple de 25 euros à  35, du 40 %… et le pouvoir d’achat ? ben le pouvoir d’achat, plouf ! La SNCF, donc, merci pour ces délicates attentions tarifaires, après la journée des femmes, des mamans, des secrétaires, du patrimoine, des crêpes, des… bref, la SNCF nous annonce la journée de l’orgasme ! et la nuit la plus longue de l’année.

Vous saisissez le rapport (consenti, bien entendu) ? la nuit du solstice d’hiver est effectivement très looonnnngue, et donc ? dois-je vous faire un dessin ? sachant qu’un mâle moyen-normal a besoin d’environ six-sept minutes, préparatifs compris, pour conclure, puis se tourne poliment du côté de sa table de nuit pour roupiller après avoir marmonné  » alors, heureuse ?  » (*), à quoi ça sert que la nuit soit super-longue ? il n’y a d’ailleurs quasiment plus aucun train de nuit – pas rentable – pour fricoter avec la madone des sleepings. Oui-SNCF essaye en fait de nous vendre du voyage, hôtels, séjours, transports… que ne nous les propose-t-il aux tarifs d’avant octobre ?  ce ne serait pas franchement orgasmique, mais follement excitant.

Tibert

(*) Réponse classique :  » ah oui… heureuse que ce soit fini ! )

RIC ? RIP…

Monsieur Bayrou (…de secours, ce qui le décrit bien) dit que la crise (des gilets bouton d’or, what else ?) est derrière nous mais que « les problèmes ne sont pas résolus« . Il parle d’or, monsieur Bayrou, car si Maqueronibus a promis des concertations sur moult sujets brûlants, c’est du futur, et le futur, hein, c’est comme les nombres du prochain loto (*), c’est incertain. Le déficit de démocratie est criant dans ce pays, verrouillé par 1) les énarques etc…, disons les sachant, ce qui implique que nous les administrés, nous ne savons pas et devons subir ; 2) la Bonne Pensée (pas touche l’identité nationale, l’immigration, les statistiques ethniques, la fonction publique, les fromages des syndicats, les effectifs des parlementaires, le nombre aberrant de communes… tous sujets inabordables, et j’en oublie), 3) un système parlementaire à base d’une pléthore de quasi-godillots, carriéristes et permutables tous les cinq ans.

Et alors ? on demande, chez les GJ, l’instauration du RIC, le Référendum d’Initiative Citoyenne. A partir de 100.000 signatures (comme en Suisse), de 500.000, de 700.000 ? vaste sujet. Monsieur Philippe – qui admet avoir commis des erreurs mais n’indique pas vouloir les réparer – dit que « le référendum peut être un bon instrument dans une démocratie, mais pas sur n’importe quel sujet ni dans n’importe quelles conditions« . Je vous traduis : ouais… c’est intéressant… faut voir… en d’autres termes, cause toujours. Car en France c’est comme ça, c’est aux élus, aux sachant, sacrebleu, qu’il revient de décider, de légiférer. On a l’exemple d’un truc théoriquement jouable, le Référendum d’Initiative Populaire, le bien nommé RIP (qu’il repose en paix) : personne n’en a jamais vu la couleur ! RIC ou RIP, il s’agit là d’un sacré changement culturel, et c’est dur à avaler pour un sachant : on lui prend son job, au pire on le contredit.

Tenez, chiche, j’ai un sujet  de RIC tout prêt à vous soumettre : « La limite de vitesse par défaut sur les routes sans séparateur central est désormais de 90 km/h« .

Tibert

(*) Je suis prêt à croire à toute Entité Supérieure, disons, allez, divine, qui me donnera au moment propice les résultats du prochain Euromillion. Mécréant, certes, mais pas buté, si ça vaut le coup.

Bénéfices secondaires et circulaires

Il paraît, en ce samedi V ème des Actes des Gilets Jaunes, qu’il y a plus de flics à Paris que de manifestants. Bonne nouvelle ! ils ne savaient pas, les manifestants,  comment arrêter sans perdre la face ; ils vont avoir une bonne excuse. C’est tout le problème de ce mouvement, qui se monte le bourrichon tout seul, auto-alimente sa mobilisation, hors de toute lucidité. A force, et de barrage filtrant en blocage usant, ceux qui les chérissaient se prennent et se prendront à les détester : basta cosi, c’est assez évident. Ceci dit, outre des picaillons en plus, des portes ont été bousculées, un courant d’air frais a commencé de circuler : à suivre, si nos hommes politiques savent tirer les leçons de l’histoire. Se résoudront-ils à descendre de leur cheval ? le mieux serait de n’y pas monter, mais ce sera un dur apprentissage.

Les journaux ont pris le virage, eux : au lieu de « les gilets jaunes veulent ceci cela… » c’est désormais « des gilets jaunes veulent… » : nuance ! mais lisant les canards, je suis frappé par l’identification géographique des GJ à leurs ronds-points, tels des berniques à leur rocher : il y a ceux de la sortie Sud de Mormoil-les-Gonesse, ceux de la rocade Ouest de Paimpont-sur-Yvette, etc. Ils sont quasi mariés… « mon rond-point, mon amour« .

La France détenant le record mondial – un record très très con – du nombre de ronds-points, il est intéressant de se poser la question : s’il y avait eu moins de ronds-points, y aurait-il eu moins de GJ ? Quoi  qu’il en soit, une conclusion s’impose :  on va certainement et urgemment arrêter de construire de nouveaux ronds-points. Dès qu’il s’en créera un, il sera aussi sec occupé par des GJ ! Qui sait, instruits par ce violent soubresaut, ce cahot-chaos (KO ?) politique, va-t-on enfin déconstruire des ronds-points, revenir aux bons vieux croisements d’antan ? la décroissance des ronds-points : ça serait une sacrée bonne idée, non ?

Tibert

Trio infernal

( Hier, un mien ami a été chercher des parents lointains à l’aéroport de Marignane ; 150 km en voiture, à l’aller ce fut peinard, rien à signaler… deux petites heures. Ils ont mis 4 h 15 au retour, « grâce » à trois superbes barrages de GJ en fin d’après-midi. Après un voyage crevant (*) de 18 heures environ, vous imaginez comme ces braves gens ont apprécié ce mouvement « citoyen » et « populaire » ).

Mais bon… le deuxième volet de la trilogie actuelle, c’est le terrorisme. Strasbourg… individu « très défavorablement connu des services de police« . Muni à vingt-neuf ans de vingt-sept condamnations , c’est une litote ! Mais rassurons-nous, sa fiche va passer à « très-très défavorablement gnagnagna…« , ce qui change tout.

Et le troisième mousquetaire de nos emmerdes actuelles, c’est un code : L214. Les « vegan« , en d’autres termes importés des USA. Des gens qui ne touchent pas à un poil d’un animal et n’en bouffent surtout pas – c’est leur droit le plus strict, qu’ils mangent de la brioche à la graisse de laitue, ils ont ma bénédiction – mais qui prétendent nous imposer leurs lubies et leurs chimères. Et ça, non. Non et non. D’ailleurs, voyez, ils sont très défavorablement connus des agriculteurs charentais.

Tibert

(*) Ils n’avaient pas pris la classe Affaires, bien que monsieur Mélenchon considère qu’il n’y a que ça de correct pour voyager. Tssss…. enfin quoi, prenez la classe Affaires, c’est nettement mieux !

Les excréments au ventilateur, avec obstination

( Je ne sais plus quelle auteure (sic) connue et estimée emploie « derechef » pour signifier « tout de suite » : elle se goure jusqu’au coude. Derechef, chef, ça veut dire rebelote, à nouveau, encore une fois, etc.)

Mais bon… juste un bref mot, un mot court pour constater combien les médias sont obstinément à jeter la merde au ventilateur, souffler sur les braises de pneus et de palettes, agiter les éléments les plus entêtés et remontés, etc. Il n’est plus possible de regarder sereinement FR3, la 2, de lire le Parigot sur le web : du Jill & John ad nauseam ; il n’y a plus que ça. La Terre peut s’arrêter de tourner, ils s’en tapent : les GJ, les GJ ! comme au Jeu des Mille-Balles on crie « banco ! banco ! » On nous rebat les oreilles et les yeux des GJ, et l’on interviouve systématiquement les plus violents – hier soir après la causerie de Macronibus au coin de son bureau, c’était flagrant sur TF1.

Il n’y a plus qu’Arte pour nous causer aussi d’autres choses, les états d’âme de madame Merkel, le pacte de Marrakech, l’Arménie, le feuilleton du Brexit… ça fait du bien.

Qu’est-ce qu’ils veulent, les journaleux ? entretenir et amplifier la m… ? ils font ça très bien, ma foi. Avec ou sans ventilateur.

Tibert

Samedi ça passe et ça casse

J’ignore ce que Santa-Claus-Macron va apporter comme cadeaux aux petits n’émeutiers hebdomadaires, mais gageons que, comme désormais selon la neuve tradition, ce sera « c’est trop tard« , « c’est pas assez« , « président des riches« , « démission » etc, et remettez-nous ça garçon, acte V, VI etc. On a inventé les pillages-marchés de Noël gratos, moyennant la mise à sac maintenant bien rodée des beaux quartiers parisiens ou d’ailleurs.

La leçon de l’histoire, c’est d’abord que la racaille se sent forte et en profite, aux dépens des revendicateurs raisonnables. La racaille a le verbe haut et de l’arrogance, l’arrogance a changé de camp. Et puis c’est que, nonobstant des structures gouverneuses épaisses, fournies, chères, luxueuses, et des parlementaires à cocarde sur le pare-brise (ils sont supposés être des relais) deux fois trop nombreux, nos Chefs n’ont absolument pas saisi le climat, ont joué tout faux, drapés-entêtés dans leurs certitudes, muets façon « cause toujours tu te fatigueras vite« . Eh non… la tour d’ivoire ne fonctionne plus, il faut courageusement en sortir. Et constater que, somme toute, les Français ne sont financièrement pas compressibles ad libitum – superbe illustration de l’adage sur la goutte d’eau qui met le feu aux poudres.

Joyeux Noël tout de même, parce que ça reste à venir, et si l’on pouvait éviter de saccager ça aussi… il y a des gosses qui croient encore au Père Noël.

Tibert

Aux cow-boys et aux indiens

La classe politicienne professionnelle de gauche-gauche (et les rouges à faux-nez vert tendance Duflot) hurle : on humilie des gamins ! effectivement, suite à des échauffourées du côté des banlieues, la police – soixante-dix types – a coincé cent-cinquante lycéens à la suite de manoeuvres subtiles. On les neutralise en attendant la suite des opérations : position de sécurité, à genoux mains sur la tête. Ce qui me rappelle quelque chose, il y  a cinquante ans au mois de mai : on a vécu ça, la même position de sécurité, en attendant le panier à salade. Comme quoi les techniques policières sont pérennes.

Le contexte était tout sauf bisounours, ce n’était pas la kermesse du pensionnat des Oiseaux : jets de projectiles divers, tentatives d’incendies… bonbonnes de gaz… manoeuvres en vue d’attirer les flics dans une téci piégeuse, etc. Supposez que vous tentiez d’incendier des bagnoles, ou même que vous y parveniez : c’est un délit. De faire péter des bouteilles de gaz : idem. Le « jeu » comporte des risques, ça tombe sous le coup de la loi. Mais du fait que 1) les délinquants sont nombreux, 2) qu’ils sont jeunes – des ados pour la plupart – le schéma non écrit serait le suivant : si les flics perdent et prennent une dérouillée (on a vu des flics incendiés dans leur voiture, c’est de la dérouillée létale), « on a gagné », haut fait d’armes qui sera largement popularisé et relayé sur les réseaux sociaux. Dans l’hypothèse inverse, c’est inadmissible ! et puis ça vaut pas, c’était juste des gamins, des braves gosses, cruauté intolérable de la police, les heures les plus sombres et le point Godwin, où va-t-on ma pauvre dame ? En somme, c’était pour rigoler, les incendies et les pavés sur la tronche. Du second degré.

Nos flics n’ont donc aucun humour ?! et encore, il se dit couramment que dans d’autres pays, les USA notamment, ils en ont encore moins, voire pas du tout. Tout se perd, si nos braves pandores se mettent à fonctionner comme des cops.