Charlie la lie

Soyons clairs : la liberté d’expression ne se taille pas en rondelles. Le dessin dégueulasse qui brocarde nos voisins Italiens après les centaines de victimes du dernier tremblement de terre là-bas a farpaitement le droit de s’étaler aux devantures des kiosques à journaux. Symétriquement, nous avons tout autant le droit de ne pas acheter cette livraison crapoteuse, cette râclure d’humour et de déclarer que c’est une sombre merde : Voilà qui est fait. On est toujours Charlie, rapport à la liberté d’expression, mais ce coup-ci je me sens transalpin.

Tibert