De passage chez quelqu’un, on a trouvé un bon promotionnel, fixé sur la porte du frigo par un « magnet ». On a trouvé ça étonnant, cocasse. On aurait pu trouver ça franchement bizarre ; de très mauvais goût ; ou carrément pédophile.
Le bon ne précise pas l’utilisation qui pourrait être faite de cet enfant offert. Eu égard à la connotation fortement volcanique du lien publicitaire, on ne peut s’empêcher de penser au tableau de Francisco Goya « Saturne dévorant un de ses enfants » : Saturne, fils du Ciel et de la Terre, en visite de voisinage dans la marmite des volcans d’Auvergne, et qui aurait une petite faim…