Tous les canards de la Planète journalistique française vous le claironnent aujourd’hui, et, tiens, sur le Huffington gaulois par exemple :
– Premio, les hommes qui ont des gencives mal en point (ils ne se lavent pas les dents, les gros sales) et donc affligés de problèmes parodontaux sont 3,29 fois plus susceptibles de présenter des troubles érectiles (*) que les hommes aux gencives saines. Personnellement, j’y vois une explication très simple, évidente : si la ou le partenaire du candidat à l’érection hume un échantillon de son haleine de putois, elle ou il va évidemment faire une grimace de dégoût, voire une remarque désobligeante du style « pouah ! qu’est-ce que tu pues du bec ! » : avouez, ça casse l’ambiance… adieu poutrelle, bonjour flanelle !
– Deuxièmo : la qualité du sperme fout le camp ! (**) : à peine 50 millions de spermatos au millilitre, au lieu de 73 et des brouettes il y a quelques lustres. Je vous jure, ils ont compté. Vous me direz, oui mais ce n’est pas la quantité qui compte, c’est la qualité, mes spermatos à moi sont de première bourre, même peu nombreux ils assurent, tout ça… certes ! certes… mais ça ne vous sert à rien, si EN PLUS vous avez des gencives en mauvais état. Là, je vous plains.
Tibert
(*) Désolé, pas les femmes… c’est très très inégal, je sais, mais que voulez-vous, ce n’est pas « les troubles de l’érection pour tous « . Elles se consoleront avec un dysfonctionnement juste pour elles, il y a de quoi faire.
(**) Voir la note ci-dessus. Eh oui, je sais, c’est inégal. Et, non, le gouvernement n’y peut rien.